2 janvier 2009
messages
En ce premier jour d’une année qui se voulait encore pleine de promesses, j’imaginais les messages voyageant à travers le pays comme autant d’oiseaux s’envolant à tire d’aile et se croisant invisibles au-dessus des nuages. Il me plaisait même de les imaginer parfois tels un vol de vanneaux s’abattant sur une terre fraîchement labourée, leur plumage clair semblant scintiller dans le soleil d’hiver.
J’ai envoyé des messages.
J’ai reçu des messages.
Certes il s’agissait d’impulsions électriques circulant à une vitesse inimaginable dans des enchevêtrements obscurs de fils, de fibres optiques et de câbles en tous genres, mais il me convenait à moi d’y voir des oiseaux porteurs d’espoirs.
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