sport
Habituellement le sport n’est pas (n’est plus) une chose qui me passionne. Je veux dire regarder le sport. Je ne suis pas un adepte des jeux du cirque. Les gladiateurs ne sont pas mes héros. D’ailleurs je préfère regarder les gladiatrices.
(Je me demande si le correcteur d’orthographe de word fonctionne correctement, parce que gladiatrice… Il n’a pas souligné. Pourtant mes dicos sont muets sur ce point.)
Je n’aurais jamais cru que je passerais une soirée entière à regarder les jeux olympiques à la télé, au lieu de travailler mon écriture et de caboter de blogue en blogue.
Je n’aurais jamais cru que je serais enthousiasmé par ce que je voyais.
Je n’aurais jamais cru que je me passionnerais pour une course de biathlon.
Il y a peu, j’ignorais parfaitement en quoi consistait le biathlon. Et voilà que j’ai les yeux rivés sur l’écran cathodique, le souffle court, le cœur battant, complètement pris dans le suspense d’une course où tout est possible, vibrant au gré des commentaires délirants des journalistes.
Je m’étonne encore.